La récupération du décrochage n’avait pas été expérimentée par le constructeur et ne faisait ni l’objet de formation (jugée non nécessaire sous prétexte des protections de l’avion) ni de procédure.
C’est donc seulement la situation dans le cockpit entre le blocage des sondes Pitot (2.10.05) et le décrochage (2.10.54) qu’il importe d’analyser.
Dans une info Sécurité des Vols du 18 juin 2012, Air France affirme à propos de la perte de contrôle en vol que, « en raison de leur configuration aérodynamique les Airbus ne feront probablement pas d’abattée ».
Personne ne sait comment ce type d’avion décroche et ce qu’il faut faire et ne pas faire pour en sortir.
Ainsi, prétendre que les pilotes doivent s’appuyer sur ce qu’ils ont appris en aéro-club ou en école de début pour gérer le décrochage d’un A 330 relève de la supercherie.
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